L'homme s'appelle L. Blanc. Avec ce nom rien de surprenant si notre entraîneur national aspire à blanchir le football français. Au-delà de l'indignation, une phrase me traverse l'esprit. Les changements même les plus souhaités ont leur mélancolie. En effet, nous avons souhaité le depart de Domenech et l'arrivée de monsieur Blanc. Aujourd'hui l'homme a déçu mon espérance. Mes illusions perdues me conduisent à reconsidérer que L. Blanc est un blanc comme Zemour, Guéant. Voici l'extrait de la discussion telle qu'elle a été publié par Médiapart.
Le sélectionneur Laurent Blanc dément en bloc avoir évoqué avec d'autres responsables du foot français la mise en place de politiques discriminatoires et de quotas dans la formation et la sélection des joueurs.Voilà pourtant ce que lui et ses collègues disaient lors d'une réunion officielle, le 8 novembre 2010:
Erick Mombaerts: Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de nationalité?
Laurent Blanc: Moi j'y suis tout à fait favorable.
François Blaquart: On peut s'organiser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit.
Erick Mombaerts: Donc il faut 30% ? (...) Il y a bien des clubs comme Lyon qui le font dans leur centre de formation.
Francis Smerecki: Je dis: première chose, c'est discriminatoire.